Dans la rue, la détresse des personnes précaires faute d’accès à l’eau
À Marseille, les plus vulnérables sont confrontés à un accès difficile à l’eau et à l’hygiène en période de canicule. Les institutions et associations s’organisent, malgré de nombreux dysfonctionnements et des besoins toujours plus importants.
Une vingtaine de personnes attend une distribution d'eau lors d'une maraude. (Photo : E.S.)
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16000 personnes à la rue, 50 à 60 douches par jour…
Quelle tristesse de laisser ces personnes vulnerables dans cette situation.
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Un article qui en rappelle un autre… paru il y a plus de dix ans : https://marsactu.fr/acces-a-leau-linaction-dhier-garantit-laction-de-demain/
Encore un sujet sur lequel Marseille se distingue par son immobilisme bien pesant, peu important qu’il s’agisse juste de dignité humaine.
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Quant au cynisme des 12 fontaines à boire ‘dans le métro’, oui, mais après validation du titre de transport … lamentable !
Et 30 points d’eau supplémentaires en 10 ans, ça en fait 3 par an ?
Dans la série foutage de gueule, ces dames patronnesses sont irrésistibles
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Pendant que l'” homme precarus” se dessèche sur place, “l’homme festivus”
représente l’homme contemporain obsédé par la fête perpétuelle. Cette célébration permanente conduit à une forme de déni du réel, effaçant l’histoire, la négativité et la complexité de l’existence au profit d’une vision uniquement festive et positive du monde.
https://www.frequence-sud.fr/art-104954-la_scene_sur_l_eau_lance_les_festivites_de_l_ete_marseillais_ce_vendredi_4_juillet_marseille
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Un diagnostic a été payé à l’ONG Solidarité international par Martine Vassal. Il devait être rendu avant le 15 janvier. Où se trouve-t-il ?
La quasi-impuissance avouée par le Printemps marseillais ne correspond pas à son programme de 2020.
Ces élus, de l’aveu de Perrine Prigent, négocient dans l’opacité avec la Métropole…
Les compétences établies par la loi MAPTAM sont une réalité incontournable, sauf si l’on ne considère pas les Marseillais comme “des administrés”, mais des acteurs majeurs qui doivent être pleinement mobilisés, y compris avec l’aide des élus pour coopérer à un bifurcation dans l’adaptation juste au sècheresses et au bouleversement du cycle de l’eau dans la ville.
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